Boulet de bagnard, ma parole ! Billet d'humeur
Treize ans cette année après son décès, il est peut-être pourtant grand temps que, selon le premier vers du Tombeau d'Edgar Poe – Tel qu'en lui-même enfin l'éternité le change –, cet artiste autodidacte soit traité en fonction de la place qui est la sienne, et lui revient, en regard de ses propres et fort singulières qualités de peintre et non plus à l'aune – pour ne pas dire à l'ombre, ou même encore à la remorque ! – de la renommée littéraire d'un autre, ce dernier fût-il le célèbre et talentueux cousin direct d'Émile, son cher et auguste papa piémontais !
Ainsi soit-il, je l'espère, pour les siècles des siècles !
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